Le beau-père de l’assurée a chuté dans son escalier, sur trois étages, provoquant la casse de la rambarde et de plusieurs luminaires ayant eux-mêmes endommagé le sol et les peintures.
L’assurée a déclaré le sinistre. Un expert a été mandaté et la responsabilité de son beau-père a été entièrement établie.
Son assureur a réglé la somme de 8.650 euros au titre de la garantie bris de vitre. Il restait à recouvrer 14.500 euros pour les autres dommages non pris en charge contractuellement (peintures, sols, rambardes…)
L’assureur de la belle-fille a alors initié en 2018 son premier recours à l’encontre de l’assureur de son beau-père. Ce recours a été adressé chaque année jusqu’en 2021 à cet assureur, sans retour.
Sur ce dossier, un problème de suivi de recours semble exister. L’assureur du beau-père est une compagnie d’assurance importante sur le marché français, composée d’un service spécifique de recours.
Les courriers adressés par l’assureur de la belle-fille depuis plus de trois ans semblent mal dirigés (mauvaise adresse ou mauvais interlocuteur).
Nos services sont intervenus dans le cadre de ce recours par l’envoi d’un courrier juridique.
La responsabilité n’était pas contestée dans ce cas. Il s’agissait de s’assurer de la bonne réception du recours.
Le courrier a été adressé le 11 mai 2022 à l’assureur du beau-père. Le 19 mai 2022, un accord de prise en charge a été annoncé à nos services. La cliente a été indemnisée par chèque quelques semaines plus tard (14.500 euros) et son propre assureur a été remboursé des 8.650 euros indemnisés par la garantie bris de vitre.
Le recours a fait l’objet d’un aboutissement par nos services en 8 jours. L’assureur de la belle-fille tentait de faire aboutir ce recours depuis 2018, soit 4 ans après le sinistre. L’efficacité Lyanne réside dans ce cas d’espèce en la qualité de suivi du recours et la capacité à trouver le bon interlocuteur.